IRM cardiaque. Mythes et réalitésRetour
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IRM cardiaque. Mythes et réalités
Les auteurs rapportent leur expérience et une revue de la littérature dans le domaine des applications cardiaques de l’IRM. Ces examens ont bénéficié d’évolutions technologiques récentes qui permettent une imagerie fonctionnelle de la plupart des cardiopathies courantes. Les indications classiques telles que les tumeurs cardiaques, les pathologies péricardiques, les cardiopathies congénitales opérées, certaines valvulopathies, la dysplasie arythmogène du ventricule droit, les cardiomyopathies et la pathologie des gros vaisseaux thoraciques sont revues et adaptées aux nouvelles technologies. Les applications plus récentes sont décrites, notamment l’étude de la perfusion et de la viabilité myocardique post-infarctus. De plus, des indications telles que la recherche d’un syndrome X ou l’évaluation des myocardites en IRM sont également évoquées. D’autre part, les contre-indications absolues et celles d’ordre technique sont redétaillées. Enfin, les auteurs tiennent à rappeler l’intérêt d’une collaboration étroite entre radiologues et cardiologues pour ce type de procédure. Rev Med Brux 2004 ; 25 : 80-6
EN
Cardiac magnetic resonance. Myth and reality
The authors report their own experience and a review of the current literature in the field of cardiac MR (CMR). Latest technical improvements now allow obtaining both anatomical and functional imaging of the beating heart and great vessels in most pathological conditions. Established CMR indications such as cardiac tumors, pericardial diseases, operated congenital heart diseases, valvular diseases, arythmogenic right ventricular dysplasia, specific cardiomyopathies and great vessels of the thorax are reviewed and updated. Current applications in post myocardial infarction such as perfusion and viability imaging sequences are described. Moreover, CMR applications in syndrome X and myocarditis are evoked. Medical contra-indications and technical limitations of CMR are also discussed. Finally, the authors insist on the interest of a real partnership between radiologists and cardiologists for these procedures. Rev Med Brux 2004 ; 25 : 80-6