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La tolérance aux allogreffes : l’Europe relève le défi
Notre meilleure connaissance des mécanismes qui contrôlent le rejet d’allogreffe ouvre de nouvelles perspectives en transplantation d’organes. Si l’induction d’une tolérance absolue des greffons se heurte encore à de multiples obstacles, le développement de nouveaux biomarqueurs devrait permettre dans les années à venir d’adapter le traitement anti-rejet en fonction du profil immunologique de chaque patient et d’en réduire ainsi les effets secondaires. Ces questions sont à l’étude au sein de réseaux de recherche mis en place par la Commission Européenne, dont le consortium RISET coordonné par l’Institut d’Immunologie Médicale de l’U.L.B. Rev Med Brux 2008 ; 29 (Suppl) : S 41-4
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Transplantation tolerance : European Union meets the challenge
Recent developments in basic and translational immunology open new exciting perspectives for the induction of transplantation tolerance in the clinic. However, a number of hurdles still need to be overcome before immunosuppressive drugs can be safely withdrawn in solid organ transplant recipients. With this background, the European Commission recently launched several initiatives to tackle unmet needs in transplantation medicine. Herein, we focus attention on the RISET project, an ongoing collaborative effort across the European Union aiming at minimization of immunosuppression on the basis of validated biomarkers. Rev Med Brux 2008 ; 29 (Suppl) : S 41-4