Mala tempora currunt, sed « meliora » paranturRetour
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Mala tempora currunt, sed « meliora » parantur
Depuis le début de l’épidémie, la presse relaie de manière continue le nombre de décès directement causés par la maladie à SARS-Cov-2 pendant que la communauté scientifique s’attèle à comprendre la physiopathologie de cette infection à la présentation et gravité cliniques variables. L’accent a été nettement moins mis sur la diminution de l’accès aux soins des patients ayant besoin d’une prise en charge cardiovasculaire urgente. A contrario, peu de données sont disponibles et peu d’informations sont diffusées concernant les dommages collatéraux liés au manque d’accès aux services de soins de santé, en particulier pour les patients nécessitant une prise en charge cardio-vasculaire urgente durant cette période de crise sanitaire. En effet, notre équipe a pu remarquer,